Impacts à court terme
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Les Etats-Unis jouent un rôle important sur la sphère internationale, que ce soit au niveau de l’économie, de la politique et de la culture. Bref, cette puissance a énormément d’influence sur le reste du monde. Pour certains, les Etats-Unis sont même considérés comme une «superpuissance» ou même une «hyperpuissance». L’événement dévastateur du 11 septembre 2001 a fait de nombreuses victimes, de grandes pertes matérielles, de nombreuses conséquences politiques et économiques qui ont marquées l’histoire des Etats-Unis. Cette puissance est omniprésente dans l’économie mondiale. Comment l’économie de ce pays sera-t-elle affectée ? (Bloom, 2007, par.1)
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De lourdes conséquences économiques peuvent être remarquées à court terme dans les heures suivant l’événement tragique, dévastateur et choquant. Après cet événement, des conséquences immédiates pouvaient être remarquées : une quantité de morts inimaginables, une perte matérielle importante, de nombreux frais à débourser pour réparer les dégâts et une crise potentiellement grave pour l'économie ayant un impact sur les marchés financiers. D’ailleurs, la Réserve fédérale a immédiatement réagi, car ils voyaient une crise potentielle qui allait s’abattre sur les Etats-Unis, donc ils ont pris certaines précautions :
« (…) Providing an unusual amount of liquidity and reducing the federal funds rate more than would be expected from levels of output and inflation.» (Neely, 2004, par.1)
Les avions se sont affaissés sur des édifices d’une très grande importance qui étaient remplis de travailleurs. Il y eut près de 3 000 morts, donc il est possible de décoder qu’il y eut un minimum de 3 000 emplois disparus (OCDE, 2002, p.147). De plus, selon Organisation de coopération et de développement économiques, il y a près de 200 000 emplois qui ont du être anéantis ou relocalisés hors de New York temporairement, ce qui relocalise une totalité d’environ 30 % de la superficie de bureau et de grandes entreprises de Manhattan ont disparus, car les conséquences matérielles étaient trop importantes et il était impossible de récupérer ces édifices (2002, p.149).
Selon Organisation de coopération et de développement économiques, ce n’est pas tout, les dépenses en sauvetages qui incluent les policiers, les pompiers, les ambulances, les médecins et plusieurs autres s’élèvent à des frais estimés à un minimum de 11 milliards de dollars(2002, p.149). Selon Kimberly Amadeo, journaliste dans le US Economy, souligne que le marché financier a été fermé quatre jours suivants le 11 septembre, donc il n’ouvra les portes que le 17 septembre 2001, un événement qui n’avait jamais été vu auparavant (2013, par. 2001 Recession). Le marché boursier avait été fermé durant deux jours, en mars 1933, par le président Franklin D. Roosevelt. Selon Carl Renaud, la semaine suivant cette tragédie, l’économie a été gravement affectée, car le Dow Jones avait effacé 14,26% de sa valeur tandis que le S&P 500 et le NASDAQ reculaient de 11,6% et de 16,1% (2011, par.6). Concernant le Dow Jones, il s’agissait la pire semaine depuis la Grande Dépression en 1930. D’après encore Carl Renaud, la Bourse de Toronto a également été touchée dans les jours suivants. Comme il y eut des transactions enregistrées le 11 septembre, ceci a fait diminuer La Bourse de Toronto et la Bourse de croissance (TSX) de 4% (Renaud, 2011, par.7). De plus, la Bourse a également été fermée. La somme d’argent impliquée dans la réparation des dégâts relève des chiffres inimaginables qui influenceront l’économie et ces montants endetteront les Etats-Unis.
« (…) Providing an unusual amount of liquidity and reducing the federal funds rate more than would be expected from levels of output and inflation.» (Neely, 2004, par.1)
Les avions se sont affaissés sur des édifices d’une très grande importance qui étaient remplis de travailleurs. Il y eut près de 3 000 morts, donc il est possible de décoder qu’il y eut un minimum de 3 000 emplois disparus (OCDE, 2002, p.147). De plus, selon Organisation de coopération et de développement économiques, il y a près de 200 000 emplois qui ont du être anéantis ou relocalisés hors de New York temporairement, ce qui relocalise une totalité d’environ 30 % de la superficie de bureau et de grandes entreprises de Manhattan ont disparus, car les conséquences matérielles étaient trop importantes et il était impossible de récupérer ces édifices (2002, p.149).
Selon Organisation de coopération et de développement économiques, ce n’est pas tout, les dépenses en sauvetages qui incluent les policiers, les pompiers, les ambulances, les médecins et plusieurs autres s’élèvent à des frais estimés à un minimum de 11 milliards de dollars(2002, p.149). Selon Kimberly Amadeo, journaliste dans le US Economy, souligne que le marché financier a été fermé quatre jours suivants le 11 septembre, donc il n’ouvra les portes que le 17 septembre 2001, un événement qui n’avait jamais été vu auparavant (2013, par. 2001 Recession). Le marché boursier avait été fermé durant deux jours, en mars 1933, par le président Franklin D. Roosevelt. Selon Carl Renaud, la semaine suivant cette tragédie, l’économie a été gravement affectée, car le Dow Jones avait effacé 14,26% de sa valeur tandis que le S&P 500 et le NASDAQ reculaient de 11,6% et de 16,1% (2011, par.6). Concernant le Dow Jones, il s’agissait la pire semaine depuis la Grande Dépression en 1930. D’après encore Carl Renaud, la Bourse de Toronto a également été touchée dans les jours suivants. Comme il y eut des transactions enregistrées le 11 septembre, ceci a fait diminuer La Bourse de Toronto et la Bourse de croissance (TSX) de 4% (Renaud, 2011, par.7). De plus, la Bourse a également été fermée. La somme d’argent impliquée dans la réparation des dégâts relève des chiffres inimaginables qui influenceront l’économie et ces montants endetteront les Etats-Unis.
Cette vidéo montre en images les attentats terroristes. La peur, l'incompréhension et la douleur hantent les Américains, comme le reste du monde. À voir.